Le 6 novembre 2020, Maxime Sorel prend le départ de son premier Vendée Globe. 82 jours plus tard, il franchit la ligne d’arrivée à la 10e place. Entre ces deux moments forts, le skipper de l’Imoca V and B-Mayenne vit une expérience extraordinaire, racontée dans ce documentaire. Maxime Sorel est un homme qui aime sans cesse repousser ses limites et il trouve dans le tour du monde en solitaire et sans escale un défi à sa mesure. Durant toute la course, il subit de nombreuses galères (dont une très inquiétante fissure du pont dans la remontée de l’Atlantique) mais rien ne peut l’arrêter et le détourner de son objectif. « Je m’en serais voulu toute ma vie de ne pas finir », dit-il. Maxime s’est fixé une mission : montrer que rien n’est impossible. Il connaît des moments de découragement mais résiste jusqu’au bout. « J’ai à plusieurs reprises posé un genou à terre, mais jamais les deux », confie-t-il. Jusqu’au bout, Maxime Sorel doit se battre contre les éléments et ses poursuivants pour décrocher une belle place dans le Top 10.
L'avis de Sailorz
Au-delà du récit d’une aventure passionnante, la force de ce documentaire tient dans l’originalité de sa mise en scène. Placé dans la pénombre, face caméra, Maxime Sorel commente les images fortes de sa course, dont certaines qu’il semble redécouvrir pour la première fois depuis son arrivée. Il en ressort de beaux moments d’émotion.
Crédits
Production: Isegoria. Réalisateur : Pierre Abruzzini. Crédits Images: Isegoria, Maxime Sorel, Nefertiti Production.
Le 6 novembre 2020, Maxime Sorel prend le départ de son premier Vendée Globe. 82 jours plus tard, il franchit la ligne d’arrivée à la 10e place. Entre ces deux moments forts, le skipper de l’Imoca V and B-Mayenne vit une expérience extraordinaire, racontée dans ce documentaire. Maxime Sorel est un homme qui aime sans cesse repousser ses limites et il trouve dans le tour du monde en solitaire et sans escale un défi à sa mesure. Durant toute la course, il subit de nombreuses galères (dont une très inquiétante fissure du pont dans la remontée de l’Atlantique) mais rien ne peut l’arrêter et le détourner de son objectif. « Je m’en serais voulu toute ma vie de ne pas finir », dit-il. Maxime s’est fixé une mission : montrer que rien n’est impossible. Il connaît des moments de découragement mais résiste jusqu’au bout. « J’ai à plusieurs reprises posé un genou à terre, mais jamais les deux », confie-t-il. Jusqu’au bout, Maxime Sorel doit se battre contre les éléments et ses poursuivants pour décrocher une belle place dans le Top 10.
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu
