A le voir dévaler les pentes raides, il est évident qu’Aurélien Ducroz est un homme du cru. S’il s’oriente naturellement vers les sports alpins, dans lesquels il s’illustre dès le plus jeune âge, le Chamoniard attrape le virus de la course au large. Il parvient à mener ces deux projets sportifs de front et c’est ainsi qu’en 2011, il baptise son premier bateau, un Mini 6.50, à Chamonix tout en décrochant le lendemain le titre de champion du monde de ski freeride. Lorsque les caméras le retrouvent quelques années plus tard, la passion de la course au large ne l’a pas quitté. Il raconte l’accueil des marins avec lesquels il a tout appris, le chemin parcouru depuis et confie ses rêves de navigations au long cours avec, déjà, l’envie de faire un jour partie de l’aventure du Vendée Globe.
L'avis de Sailorz
Le portrait d'un sportif éblouissant de talent et d’humilité.
Crédits
Production : Aligal Production, France Télévisions - France 3 Bretange. Écriture et réalisation : Nathalie Marcault. Image : Xavier Rivier, Ludovic Auger, Christian Roche. Image drone montagne : Eric Gachet. Son : Tullio Rizzato, Lucie Hardoin. Assistante de réalisation : Aurélie Leroux. Équipe et moyens techniques : La Fabrique France TV. Direction déléguée de la post-production : Sébastien Grandsire, Véronique Bral. Responsable de post-production : Séverine Brolles, Gaëlle Hannebicque. Montage image & son : Wilfrid Wagner. Sonothèque : Bruno Agabalian. Mixage : Gilles Sprecher. Étalonnage : Philippe Fontaine. Titrage : Wilfrid Wagner. Techniciens vidéo : Alexandre Dersin, Alain Megel.
A le voir dévaler les pentes raides, il est évident qu’Aurélien Ducroz est un homme du cru. S’il s’oriente naturellement vers les sports alpins, dans lesquels il s’illustre dès le plus jeune âge, le Chamoniard attrape le virus de la course au large. Il parvient à mener ces deux projets sportifs de front et c’est ainsi qu’en 2011, il baptise son premier bateau, un Mini 6.50, à Chamonix tout en décrochant le lendemain le titre de champion du monde de ski freeride. Lorsque les caméras le retrouvent quelques années plus tard, la passion de la course au large ne l’a pas quitté. Il raconte l’accueil des marins avec lesquels il a tout appris, le chemin parcouru depuis et confie ses rêves de navigations au long cours avec, déjà, l’envie de faire un jour partie de l’aventure du Vendée Globe.
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