Ce film raconte le Vendée Globe 2012-2013 victorieux de François Gabart, entre flash-back - qui permettent de comprendre comment celui qui a démarré la course au large par la classe Figaro s’est entouré et a préparé ce premier tour du monde en solitaire - images embarquées et confessions en gros plan du skipper. Celui-ci ne cache aucun de ses états d’âme, d'une entame difficile où il fait face à un problème de moteur, aux larmes d’émotions à 300 milles de franchir le cap Horn en tête. A travers ses propos – « Il en faut peu pour être heureux, juste être devant » –, les témoignages de membres de son équipe – Michel Desjoyeaux en tête - et quelques images d’archives – comme celles du petit blond à lunettes qui se voit remettre une coupe en Optimist -, on devine l’âme de compétiteur qui anime le Charentais pendant les 78 jours de course. Une édition marquée par un incessant mano a mano avec Armel Le Cléac’h, dont il n’aura jamais été éloigné de plus de 20 milles pendant plus de la moitié de la course. On comprend aussi la dureté d’une épreuve qui, selon François Gabart, n’offre « aucun répit. »
L'avis de Sailorz
Servi par une musique adaptée et de magnifiques images, notamment dans le Grand Sud et à l’arrivée aux Sables, ce film vaut aussi par la force des confessions en gros plan de François Gabart qui se livre sans fard, permettant de mieux comprendre l’incroyable engagement mental que réclame le Vendée Globe.
Crédits
Réalisation : Yves Legrain Crist.
Image : Philippe Thomas.
Son : Camille Limousin, Alexandre Abrard, Lucas Héberlé.
Montage : Mona-Lise Lanfant, Géraldine Rétif, Gwénaël Giard Barberin.
Mixage : Henry Puizillout, Studio L’Oreille du Chat.
Étalonnage : Alexandre Guillorit.
Musique originale : Shaman & Gourou.
Musique additionnelle : Gérard Cohen-Tannugi.
Production : Kanari Films.
Producteur : Laurent Segal.
Direction de production : Cécile Electon.
Avec la participation de Canal +, en coproduction avec Tébéo, TVR et Ty Télé.
Avec le soutien du Conseil Régional de Poitou-Charentes, du Conseil Général du Finistère et du Centre National du Cinéma.
Ce film raconte le Vendée Globe 2012-2013 victorieux de François Gabart, entre flash-back - qui permettent de comprendre comment celui qui a démarré la course au large par la classe Figaro s’est entouré et a préparé ce premier tour du monde en solitaire - images embarquées et confessions en gros plan du skipper. Celui-ci ne cache aucun de ses états d’âme, d'une entame difficile où il fait face à un problème de moteur, aux larmes d’émotions à 300 milles de franchir le cap Horn en tête. A travers ses propos – « Il en faut peu pour être heureux, juste être devant » –, les témoignages de membres de son équipe – Michel Desjoyeaux en tête - et quelques images d’archives – comme celles du petit blond à lunettes qui se voit remettre une coupe en Optimist -, on devine l’âme de compétiteur qui anime le Charentais pendant les 78 jours de course. Une édition marquée par un incessant mano a mano avec Armel Le Cléac’h, dont il n’aura jamais été éloigné de plus de 20 milles pendant plus de la moitié de la course. On comprend aussi la dureté d’une épreuve qui, selon François Gabart, n’offre « aucun répit. »
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