Réalisé en amont de la Route du Rhum 2014, dans laquelle il se classe troisième en Multi50 à bord de Rennes-Métropole-Saint-Malo Agglomération, ce documentaire dresse le portrait de Gilles Lamiré, « entré comme un ovni dans le petit monde des skippers professionnels ». Ou plutôt par hasard, puisque, après des études de commerce qui ne le passionnent guère, celui que ses professeurs appelaient « Gilles dans la lune », se voit proposer, alors qu’il doit convoyer l’ancien Elf Aquitaine III de Jean Maurel de métropole en Martinique, de le faire dans le cadre de la Route du Rhum. « Je n’y avais pas pensé, faire la Route du Rhum, c’était comme courir le Grand Prix de Monaco », confie le Cancalais. Qui se prend alors au jeu de la course au large et s’installe peu à peu dans la classe Multi50 (devenue Ocean Fifty). Entre préparation du bateau, entraînements avec Karine Fauconnier et recherche de partenaires, l’autodidacte a depuis appris à devenir un vrai marin professionnel.
L'avis de Sailorz
On peut n’avoir fait ni voile olympique, ni Figaro, ni entraînements d’hiver du côté de La Trinité-sur-Mer et participer à la Route du Rhum. C’est ce que montre ce portrait de Gilles Lamiré qui, au passage, fait partager le quotidien d’un marin professionnel, loin de se dérouler toujours sur l’eau…
Crédits
Production : Bleu Iroise / TVR-Tébéo-TébéSud. Réalisation : Emilien Bernard. Montage : Jean-François Barré. Mixage : Henry Puizillout.
Réalisé en amont de la Route du Rhum 2014, dans laquelle il se classe troisième en Multi50 à bord de Rennes-Métropole-Saint-Malo Agglomération, ce documentaire dresse le portrait de Gilles Lamiré, « entré comme un ovni dans le petit monde des skippers professionnels ». Ou plutôt par hasard, puisque, après des études de commerce qui ne le passionnent guère, celui que ses professeurs appelaient « Gilles dans la lune », se voit proposer, alors qu’il doit convoyer l’ancien Elf Aquitaine III de Jean Maurel de métropole en Martinique, de le faire dans le cadre de la Route du Rhum. « Je n’y avais pas pensé, faire la Route du Rhum, c’était comme courir le Grand Prix de Monaco », confie le Cancalais. Qui se prend alors au jeu de la course au large et s’installe peu à peu dans la classe Multi50 (devenue Ocean Fifty). Entre préparation du bateau, entraînements avec Karine Fauconnier et recherche de partenaires, l’autodidacte a depuis appris à devenir un vrai marin professionnel.
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu