En 1968, Bernard Moitessier fait partie de la poignée de fous aventuriers à prendre le départ du premier tour du monde en solitaire et sans escale, le Golden Globe Challenge. Des deux petites caméras Beaulieu 8 mm qu’il consent à embarquer pour témoigner de cette épopée, sa femme Françoise réalisera ce film, auquel il prêtera sa voix. Bernard Moitessier raconte. Il décrit son quotidien, s’émerveille de soudaines rencontres - jamais humaines - et philosophe sur sa condition. Souvent, sa voix laisse place à la contemplation de l’horizon, de la mer, de la faune marine et de Joshua, son ketch devenu le prolongement de lui-même. Lorsqu’il franchit le cap Horn après 167 jours de mer, il renonce à rentrer en Europe, abandonne la course et choisit de poursuivre sa route dans l’océan austral. Roulé par une vague durant sa seconde traversée de l’océan Pacifique, il ralliera finalement Tahiti au bout de 303 jours de mer.
L'avis de Sailorz
Une histoire fascinante qui a inspiré des générations entières de navigateurs et d’aventuriers, tout simplement incontournable.
Crédits
Production et réalisation : Françoise Moitessier - de Cazalet, avec l’aide de Nefertiti Production, Hervé Borde et Olivier Galy-Nadal. Images : Bernard Moitessier, Françoise Moitessier avec une caméra Beaulieu. Montage : Jean-Marie Perthuis, Laetitia Oriol. Mixage : Pascal Stevens. Conformation : Alain Paulhac.
En 1968, Bernard Moitessier fait partie de la poignée de fous aventuriers à prendre le départ du premier tour du monde en solitaire et sans escale, le Golden Globe Challenge. Des deux petites caméras Beaulieu 8 mm qu’il consent à embarquer pour témoigner de cette épopée, sa femme Françoise réalisera ce film, auquel il prêtera sa voix. Bernard Moitessier raconte. Il décrit son quotidien, s’émerveille de soudaines rencontres - jamais humaines - et philosophe sur sa condition. Souvent, sa voix laisse place à la contemplation de l’horizon, de la mer, de la faune marine et de Joshua, son ketch devenu le prolongement de lui-même. Lorsqu’il franchit le cap Horn après 167 jours de mer, il renonce à rentrer en Europe, abandonne la course et choisit de poursuivre sa route dans l’océan austral. Roulé par une vague durant sa seconde traversée de l’océan Pacifique, il ralliera finalement Tahiti au bout de 303 jours de mer.
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