Le Monstre est un documentaire exceptionnel : pendant plus de 50 jours, Tanguy Conq s’est immiscé, caméra au poing, au plus près des équipes d’organisation de la Transat Jacques Vabre, jusqu’à se fondre dans le décor, observateur attentif des moindres soubresauts d’une édition hors norme. Des négociations avec les classes et les remorqueurs jusqu’au dernier briefing météo de nuit, en passant par la pression croissante sur les épaules de la direction de course, on transpire pour ceux qui doivent donner le départ. Résultat : un film qui raconte comme jamais toute la complexité d’organiser une course au large avec près de 100 concurrents tandis que le monstre météorologique qu’est la tempête Ciaran, ses 55 nœuds de vents et ses 8 mètres de creux, s’apprêtent à faucher la pointe du continent…
L'avis de Sailorz
Si beaucoup de films prétendent entrer dans les coulisses de la course au large, celui-ci est certainement l’un des plus réussis dans son genre. Il y parvient en grande partie grâce au lien de confiance tissé entre le réalisateur et ses « sujets », au premier rang desquels le co-directeur général, Gildas Gautier, et le directeur de course, Francis Le Goff. Un condensé de talent, de part et d’autre de la caméra.
Crédits
Production : NefSea Production, Tip & Shaft. Réalisation : Tanguy Conq. Montage : Tanguy Conq. Écriture : Thomas Sametin, Tanguy Conq. Images additionnelles : NefSea Production, France Télévision, Gauthier Lebec, Brieuc Segalen, Théo Reynal, Jean-François Padet, Christian Roche, Tom Gonzalez, Fabrice Caër, PolaRyse, Marin Le Roux, Yann Riou, Pierre Bouras, Adrien Cordier, Easyride, Guillaume Gatefait, Romain Marie. Images drone: Fred Olivier. VFX : Grégoire Scherpe. Avec la collaboration de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre.
Le Monstre est un documentaire exceptionnel : pendant plus de 50 jours, Tanguy Conq s’est immiscé, caméra au poing, au plus près des équipes d’organisation de la Transat Jacques Vabre, jusqu’à se fondre dans le décor, observateur attentif des moindres soubresauts d’une édition hors norme. Des négociations avec les classes et les remorqueurs jusqu’au dernier briefing météo de nuit, en passant par la pression croissante sur les épaules de la direction de course, on transpire pour ceux qui doivent donner le départ. Résultat : un film qui raconte comme jamais toute la complexité d’organiser une course au large avec près de 100 concurrents tandis que le monstre météorologique qu’est la tempête Ciaran, ses 55 nœuds de vents et ses 8 mètres de creux, s’apprêtent à faucher la pointe du continent…
Une erreur s’est produite lors de la lecture de votre contenu
