Première victoire dans l’Ostar pour Loïck Peyron !
Synopsis
Retour en 1992. Loïck Peyron est interviewé sur les pontons de Plymouth en pleine confiance quant à son bateau et ses capacités : « C’est la première fois que je n’ai pas d’excuse pour ne pas gagner », confie-t-il au micro de Bernard Rubinstein. Nous le suivons à travers ce documentaire pour sa deuxième participation à l’Ostar, mythique transat anglaise, à bord de son trimaran Fujicolor II. Le départ est canon, Loïck Peyron est en tête ! Malgré la saison printanière, les conditions fraichissent rapidement sur la route orthodromique et il n’est pas rare de croiser des icebergs. « Tout est trempé, froid, humide, glacé… Frigorifié ! Bonbons glacés ? Esquimaux ? » Loïck Peyron ne perd pas son sens de l’humour, ni son appétit ! Au menu de ce jour, c'est cassoulet au confit d’oie, conditionné en boîte de conserve. Les plats lyophilisés n’ont pas encore colonisé l’avitaillement des bateaux de course. D’autres choses, en revanche, semblent immuables. Ce qui a été le plus éprouvant pendant cette transat contre les vents dominants ? « C’est la pensée de ne pas casser, raconte-t-il à l’arrivée, c’est ça qui fatigue le plus. »
L'avis de Sailorz
Encore une belle surprise signée Patly Productions. Après Philippe Poupon en 1990 (voir Un Rhum avec Poupon), nous voici en immersion dans une autre course transatlantique, l’Ostar, en compagnie du jeune Loïck Peyron. Rires et bonne humeur garantis, avec en prime un superbe résultat à la clé !
Crédits
Production : Patly Productions. Réalisation : Dominique Pipat. Images : Loïck Peyron, Benjamin Linvingston. Pilote d’hélicoptère : Daniel Manoury. Montage : Didier Delzor. Interview : Bernard Rubinstein.
Retour en 1992. Loïck Peyron est interviewé sur les pontons de Plymouth en pleine confiance quant à son bateau et ses capacités : « C’est la première fois que je n’ai pas d’excuse pour ne pas gagner », confie-t-il au micro de Bernard Rubinstein. Nous le suivons à travers ce documentaire pour sa deuxième participation à l’Ostar, mythique transat anglaise, à bord de son trimaran Fujicolor II. Le départ est canon, Loïck Peyron est en tête ! Malgré la saison printanière, les conditions fraichissent rapidement sur la route orthodromique et il n’est pas rare de croiser des icebergs. « Tout est trempé, froid, humide, glacé… Frigorifié ! Bonbons glacés ? Esquimaux ? » Loïck Peyron ne perd pas son sens de l’humour, ni son appétit ! Au menu de ce jour, c'est cassoulet au confit d’oie, conditionné en boîte de conserve. Les plats lyophilisés n’ont pas encore colonisé l’avitaillement des bateaux de course. D’autres choses, en revanche, semblent immuables. Ce qui a été le plus éprouvant pendant cette transat contre les vents dominants ? « C’est la pensée de ne pas casser, raconte-t-il à l’arrivée, c’est ça qui fatigue le plus. »
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