La sélection d'Anthony Marchand

Le skipper remplaçant d’Yves Le Blevec (Actual) sur la Route du Rhum - Destination Guadeloupe fera partie de l’équipage de l’Imoca Biotherm, skippé par Paul Meilhat, lors de la prochaine édition de The Ocean Race. Celui qui a déjà goûté à la course autour du monde en équipage avec escales à bord de Mapfre en 2014-2015 et compte dix participations à la Solitaire du Figaro, a pris le temps, malgré un planning bien chargé, de nous donner son top Sailorz : 40S - 09E, nuit blanche sur le Vendée Globe : « Kevin est un bon copain. J’ai vécu cette histoire en direct avec nos amis communs. Je trouve qu’il réussit très bien à retranscrire minute par minute tout ce qu’il a pu vivre, ressentir et la manière dont il a géré cette situation. » ; Mor Bihan, le temps d’une course : « Je ne connaissais pas cette histoire, j’ai vu ce reportage l’année dernière et il m’a beaucoup surpris. J’ai halluciné sur ce projet, sur la manière dont il a été monté et mené par des jeunes d’Etel qui avaient construit le bateau dans une vieille glacière. Les voir faire une très belle étape dans le grand sud contre Peter Blake, je trouve ça génial et émouvant. » ; Duel, sur la Solitaire, un seul vainqueur : « Ce reportage montre bien la tension sur cette course ainsi qu’une autre facette de la Solitaire du Figaro. Il n’y a pas beaucoup de reportages de voile qui ont été tournés uniquement sur l’aspect performance, ni sur les duels qui existent entre les concurrents. Très chouette reportage qui mérite d’être vu, il est réalisé d’une manière originale et très intéressante. » ; Embarqué, 32 jours de course Ultim : « Ce film montre bien l’avantage d’avoir un mediaman à bord d’un bateau. Ça permet de ramener de très belles images, de faire vivre notre sport de l’intérieur. Ronan Gladu, en tant que mediaman, a vraiment sa manière à lui de filmer. Il sait trouver la bonne image, capturer les moments forts. J’ai pris beaucoup de plaisir à voir ce documentaire. » ; No Room for Error : « Encore un reportage hyper intéressant qui montre bien la complexité et la difficulté de mener ces machines à plus de 50 noeuds, le stress que ça peut engendrer et la responsabilité du barreur vis-à-vis du team, de l’équipage, d’un concept, d’un projet… C’est un film qui en met plein les yeux ! »