Lorsqu'il se prête au jeu de la Sélection du skipper, Benjamin Dutreux s’apprête à prendre le départ de la Vendée Arctique-Les Sables d’Olonne, première des cinq courses qualificatives pour le prochain Vendée Globe. Pour récupérer entre deux navigations d’entraînements, il regarde des films sur Sailorz : Atlantique Express : « Parce que c’est un film précurseur de voile, avec Eric Tabarly qui a marqué l’histoire de notre sport. » ; La Solitaire, une école française : « J’ai moi-même participé à la Solitaire à quatre reprises, ce film, en plus d’en rappeler l’histoire, permet de comprendre comment cette course est devenue une référence sportive et une étape importante dans une carrière de marin. » ; Francis Joyon, skipper no limit : « Parce que j’adore les histoires de marins un peu différents, Francis est quelqu’un de relativement discret mais qui fait beaucoup avancer les choses, j’aime beaucoup sa phrase « Faire beaucoup avec peu ». C’est un marin d’exception doublé d’un sacré personnage qui a su faire preuve de résilience. » ; Seul en mer : « Je ne l’ai pas encore vu, mais je connais bien Romain (Bolzinger, le réalisateur et acteur du documentaire), je suis persuadé qu’il a raconté une belle histoire autour d’un circuit Mini que j’adore, avec beaucoup de mixité, des personnes qui ont vécu plein de choses différentes, des vieux, des jeunes, peut-être qu’un jour je ferai la Mini ! » ; Pour finir trois portraits de marins emblématiques : Escale avec Alain Gautier : « J’ai eu l’occasion de partager des moments avec lui lors de la Solitaire en 2019 sur laquelle il était humblement revenu, j’avais adoré écouter ses histoires de mer à la VHF » ; VDH Monsieur Longue Route : « Car c’est une figure emblématique chez nous, en Vendée. Sur la Golden Globe Race, il avait préparé son bateau à Port Bourgenay, on a ensuite racheté le chantier avec mon frère, c’est là qu’on a préparé mon Imoca pour le dernier Vendée Globe » ; Jacques Caraës, une vie de marin : « Un clin d’œil à Jaco que j’ai appris à connaître sur le Vendée Globe, c’est un vrai personnage, humain, comme on les aime. »
